La méthode Singapour

 

Après avoir accompagné ma fille rejoindre Morphée, je me prends ce temps de pause pour regarder la télévision. Je suis tomber sur l’interview de Monica Neagoy qui expliquait avec passion la méthode Singapour. Je ne connaissais pas avant, mais elle m’a convaincu !

Les mathématiques n’ont jamais été un point fort pour moi. Peut-être que si j’avais bénéficié de cette approche, je serais parvenue à comprendre concrètement le sens de tout ce que l’on me demandait d’apprendre. Je vais certainement avoir l'opportunité de me réconcilier avec cette matière en adoptant cette approche durant la scolarité de ma fille

La méthode Singapour se base sur 3 fondamentaux : La modélisation (schématiser le problème)Le concret-imagé-abstraite (inspiré de Maria Montessori) La verbalisation (description des étapes de résolution).

On sous-estime l'importance des mathématiques. Nous devons l'utiliser dans notre quotidien ! Cette matière permet à l'enfant de développer son raisonnement et de comprendre ce qui l'entoure. Il existe des livres selon le niveau de classe de votre enfant qui peuvent permettre de mieux comprendre les mathématiques et parfois même à aimer en faire !

Si vous souhaitez en savoir plus sur l’approche et pourquoi les mathématiques sont importants aujourd'hui, je vous invite à regarder cette vidéo.

https://www.youtube.com/watch?v=ixAuPJan7Jg

Cyrielle.

Le changement d’heure !

Nous changeons d’heure ce dimanche 27 octobre ! Saviez-vous que cette modification a été instaurée dans notre hexagone en 1975 suite au choc pétrolier pour nous caler au rythme du soleil afin de réaliser des économies d’énergies ?
Que l’on soit pour ou contre ce changement, il est essentiel d’accompagner nos enfants et de s’adapter à leurs besoins physiologiques. Pour nous, une heure peut sembler dérisoire, mais pour les plus jeunes cela perturbe réellement leur rythme. 
On possède tous une horloge interne connue sous le nom de « horloge circadienne ». Elle définit les périodes d’éveil et de sommeil. 
Dès leur deuxième à leur quatrième mois, les enfants sont extrêmement sensibles à cela, car avant cet âge, ils ne distinguent pas le jour et la nuit. Si cette horloge est déréglée, les plus jeunes enfants sont alors perturbés. Ils peuvent être irritables, beaucoup pleurer et leur alimentation peut aussi changer.

Alors comment faire pour accompagner son enfant dans cette transition ? 
→ Préparer ce changement de manière progressive : la semaine qui précède ce changement d’heure, vous pouvez décaler de quinze minutes chaque jour les moments de repas, de sommeil afin de les habituer en douceur à cette modification. 

→ Proposer des jeux extérieurs ce dimanche : votre enfant sera exposé à la lumière du jour et il pourra se dépenser physiquement et ainsi favoriser le coucher du soir. Si le temps ne le permet pas, jouez avec la luminosité dans votre foyer. 

→ Préserver les rituels : il est important de préserver les habitudes du coucher, car cela le rassurera (horaire similaire à son habitude, une histoire, un jeu calme…). 

→ Modifier l’heure dès la veille au soir 🕰 : cela permet de ne pas se précipiter dès le matin pour changer tous vos appareils électroniques et de transmettre ce changement à vos enfants de façon précipitée.

→ Le faire ensemble, c’est mieux ! Si votre enfant est en âge de lire les chiffres, vous pouvez changer l’heure de son réveil, du micro-onde ou autre avec lui. Vous pouvez lui expliquer les raisons de ce changement. Voici une vidéo pédagogique et explicative à l’aide de mots adaptés selon son stade de développement.
https ://www.youtube.com/watch ?v=cGNEeZ2FW9

→ Faites preuve de patience : les enfants mettent environ 1 semaine à s’habituer à ce changement. Comprenez qu’il n’est pas évident pour eux de saisir ce décalage. 

Pour terminer, je vous partage un moyen mémo technique pour savoir si nous devons avancer ou reculer d'une heure : octobRE on recul et en AVril on avance.

 

Des questions, encore des questions, toujours des questions …

 

Lorsque l’on devient parent, un tsunami de questions peut survenir de nulle part !

Est-ce acceptable si ...? 

Comment procéder à cela? 

Où est-ce que je dois ...? 

Est-ce que je prends la bonne décision si …

On ne sait plus où donner de la tête ! Toutes ces recommandations concernant le "parent idéal" qui doit adopter une certaine attitude, agir de cette manière ou  surtout ne pas faire cela, incitent à la culpabilisation.  

Non, il n'existe pas une seule réponse satisfaisante comme dans l’émission "Qui veut gagner des Millions" pour toutes les questions que l'on se pose tout au long de notre vie de parent. Vous pourrez faire appel à un ami pour un conseil ou demander l’avis du public en regardant ce que font les autres parents de la société voir même prendre le 50/50 avec les avis que vous trouverez sur Google. 

Mais seul vous savez mieux que personne ce qui sera le mieux pour VOTRE enfant.

 

Prenons l'exemple de la tétine (qui suscite de nombreux débats). Il existe des arguments « pour » et des arguments « contre », tout comme dans chaque décision que nous prendrons pendant notre rôle de parent. Il y a des enfants qui en auront grandement besoin car la succion est fondamentale pour les nourrissons. Et d’autres qui auront besoin de vos bras car l’amour est indispensable à leur développement. 

Le message que je veux vous faire passer est : STOP !

Stop à la culpabilité, stop à la comparaison, stop au jugement que vous pouvez avoir sur vous.

Vous faites de votre mieux avec les moyens que vous avez ? Bonne nouvelle, vous êtes un bon parent ! 

 

Nous n’allons pas blâmer nos enfants lorsqu’ils tentent quelque chose et qu’ils n’y arrivent pas. Alors montrons-leurs cet exemple en lâchant prise et en se faisant confiance ! Cela constitue une des leçons de vie les plus précieuses pour leur avenir et leur développement psychologique : l’estime et la confiance en soi.  

 

La famille recomposée :

les clés pour vers une harmonie durable

 

Ce modèle de plus en plus courant, offre de nouvelles dynamiques familiales, mais elle n'est pas sans défis!  Que ce soit pour les parents ou les enfants, chaque membre de la famille peut ressentir une palette d'émotions complexes face à ce changement. 

Aujourd’hui, nous abordons les divers défis rencontrés dans les familles recomposées, les sentiments éprouvés par chacun et des conseils pour naviguer ces eaux parfois tumultueuses.

LES DÉFIS AU QUOTIDIEN 

Trouver sa place                                                                                                                            

Au sein d’une famille recomposée, il est possible que les rôles soient flous. Il est essentiel que les enfants s'adaptent à un nouvel adulte dans leur vie, tandis que le nouveau partenaire doit trouver sa propre position. Cela peut engendrer des conflits importants au sein du couple, mais également dans la relation « beau parent/enfant » et entre les deux fratries. 

Gérer ses émotions                                                                                                                           

Les enfants peuvent ressentir une multitude d'émotions : jalousie, tristesse, confusion. Ils doivent souvent naviguer entre l’ancienne et la nouvelle famille, ce qui peut entraîner un sentiment de perte ou d’abandon. 

Les parents peuvent éprouver de l'anxiété quant à leur capacité à gérer une nouvelle dynamique familiale. La peur de ne pas être acceptés par les enfants de leur partenaire ou de créer des tensions peut peser lourdement sur leurs épaules.

Les conflits de loyauté                                                                                                                         Les enfants peuvent se sentir tiraillés entre leurs parents biologiques et leur nouveau beau-parent, ce qui peut provoquer des conflits internes. Ils peuvent avoir peur de décevoir l'un ou l'autre.

DES CONSEILS ADAPTÉS 

Établir des compromis
Un couple qui privilégie les compromis est mieux équipé pour surmonter les défis. Chaque partenaire doit être prêt à faire des concessions, que ce soit sur la discipline, les activités familiales ou le temps passé ensemble. Vous êtes le socle de ce nouveau modèle familial . Si vous n’êtes pas en phase (surtout devant les enfants), cela accentuera leur difficulté à appréhender ce nouveau modèle familial. 

Respecter les différences
Chaque membre de la famille peut avoir des valeurs et des traditions différentes. Il est crucial de respecter ces différences et de trouver des moyens de les intégrer dans la nouvelle dynamique familiale. Dans un premier temps, les enfants peuvent être réfractaires. Prenez le temps de communiquer, de considérer leurs ressentis

Créer des rituels familiaux
Instaurer des traditions ou des rituels peut renforcer les liens. Que ce soit un repas hebdomadaire ou des activités partagées, ces moments peuvent aider à créer un sentiment d’appartenance. N’hésitez pas à proposer des réunions de famille en apportant une touche sympathique pour que ces moments vous permettent de libérer la parole. 

Considérer les émotions des enfants

Prenez le temps d'écouter les enfants et de valider leurs sentiments. Reconnaître leurs émotions peut les aider à se sentir compris et moins isolés. Continuez à partager des moments seuls avec vos enfants respectifs. Ils sentiront qu’ils restent votre priorité et que malgré ces bouleversements, vous ne l’oubliez pas. Ce sera l’occasion pour vous d’échanger sur ses ressentis et ainsi de mieux comprendre certains comportements. 

Faire Preuve de patience et d’indulgence
La transition vers une famille recomposée prend du temps. Soyez patient et donnez à chaque membre de la famille (enfant ET parent) l’espace nécessaire pour s’adapter à la nouvelle dynamique. Prenez le temps de vous connaître, de créer une relation saine avec le(s) enfant(s) de votre conjoint. Vous pouvez vous intéresser à ses passions, trouver des points communs. Cela favorise les liens ! 

Cyrielle 

Parent solo : une vie à 100 à l’heure !

Il est parfois difficile de gérer la vie quotidienne. Entre le travail, les devoirs, les sorties en dehors de l'école, les courses et les idées de repas, les tâches qui se succèdent ...  

La grande charge mentale qui en découle rend difficile la recherche de moments à soi. 

Les obligations que cela signifie d'être parent seul nous conduisent à des responsabilités liées à nos devoirs parentaux, où l'échec n'est pas possible. C’est un sentiment légitime, mais qui peut être dévastateur sur le moyen et long terme. 

Nous ne sommes pas que des parents. Nous sommes aussi des hommes/femmes avec des envies, des besoins. Oui, nous pensons au bien-être de nos enfants, oui nous voulons remplir notre mission de la meilleure façon qu’il soit en s’infligeant le devoir de ne JAMAIS échouer ! 

Le modèle de "parent idéal" que nous transmettons à nos enfants véhicule un message de perfectionnisme et d'interdiction de l'erreur. Pourtant, lorsque nos enfants rencontrent des difficultés dans leurs devoirs, nous choisissons de les encourager à tirer des leçons de leurs échecs et à se relever. C'est cette capacité qui nous permet de progresser et de développer une force de caractère, ainsi qu'un état d'esprit équilibré pour faire face aux défis de la vie. Nous sommes des parents parfaitement imparfaits ! Ainsi, enseignons à nos enfants l'importance du lâcher-prise et apprenons-leur à se relever malgré les obstacles. En effet, l'erreur fait partie de l'expérience humaine. Cela ne signifie pas que nos enfants nous sous-estiment. 

OSEZ ! 

OSEZ demander de l’aide à vos proches (famille, amis). 

OSEZ vous accorder du temps. 

OSEZ ne pas faire un repas équilibré un soir par manque de temps (les enfants vous en remercieront) …

VOUS N’ÊTES PAS SEUL(E) 

En France, une famille sur 4 est monoparentale !

À une époque où les réseaux sociaux occupent une place prépondérante, il est possible de rejoindre un groupe Facebook pour rencontrer d'autres parents partageant des expériences similaires. L'isolement peut être particulièrement difficile à vivre. Cela vous permettra de vous détendre et de relativiser certains aspects de la vie en famille monoparentale. Des activités, avec ou sans enfants, y sont fréquemment proposées.

J'organise sur demande des ateliers de rencontre destinés aux familles monoparentales, afin de favoriser la création d'une communauté, de vous aider à vous sentir moins isolé et de répondre à vos interrogations. 

Cyrielle

L'opposition

Si vos enfants ne vous ont jamais détesté, vous n’avez jamais été parent." Bette Davis. 

Cette citation résonne en moi ! Le rôle de parent est parfois ingrat. Nous sommes amenés à leur dire “non” ou à les laisser se tromper lorsque c’est nécessaire  afin que les enfants comprennent par eux-mêmes leurs erreurs. Nous sommes alors présents pour les aider à affronter ces frustrations, ces déceptions. Les périodes d’opposition face à leurs figures d’attachements sont des phases importantes pour le développement des enfants et indispensables pour leur bon développement. Cela leur permet de construire leur personnalité, de s’émanciper peu à peu et les prépare à faire face aux aléas de la vie. 

Mais soyons honnêtes, elles sont difficiles à gérer pour les parents. “Hier il m’écoutait et aujourd’hui, il rejette tout ce que je peux lui proposer ! Finalement, nous apprenons aussi à gérer notre frustration de voir nos enfants grandir, s’imposer, répondre avec aplomb … 

Comment faire pour mieux appréhender ces moments ou l’on a l’impression de ne plus reconnaître notre chérubin?

1/ MAINTENIR LA COMMUNICATION 

Lors d’un moment calme, vous pouvez parler avec votre enfant sur ses ressentis, sa vision des choses. Selon leur stade de développement, votre discours doit être adapté. Pour l’y aider, vous pouvez également vous confier sur ce que vous ressentez, cela peut l’aider à verbaliser. 

2/ S’INTERESSER 

Les phases d'opposition marquent un tournant dans la vie de votre enfant. Des changements s'opèrent. Son cerveau est en chantier (particulièrement à la période de l’adolescence). Prenez le temps de vous intéresser à leurs hobbies, à leurs amis, aux musiques qu’ils écoutent... Ils évoluent constamment et peuvent facilement changer d’avis/ d’envie. Cela permet de recréer du lien à partir du monde qu’ils se sont construit. 

3/ JE NE SUIS PAS TON ENNEMI(E)

Chaque semaine, vous pouvez partager un moment qui vous lie à votre enfant : cinéma, piscine, football, cuisine, magasins, jeux de société …  Cela permet de montrer que vous n’êtes pas si différent et que vous avez des points communs ! Vous créez alors des moments de complicités et pouvez faire une trêve sur les tensions qui peuvent parfois envahir le quotidien. 

4/ ACCEPTER

Accepter que son enfant ne soit plus le même, qu’il ne soit plus aussi câlin qu’avant, qu’il vous ignore, qu’il ne soit pas d’accord avec vous... 

Souvenez-vous de votre relation avec vos propres parents?  Nous pouvons dire des phrases que nous avons nous mêmes entendus par nos figures d’attachements. Nous  comprenons mieux aujourd’hui le sens de ces mots grâce à l’expérience et la persévérance des adultes. Patience … 

La relation avec son enfant évolue à tout âge, il comprendra un jour. Alors, continuez à lui donner de l’amour même si vous avez cette douloureuse sensation qu’il n’est pas réceptif car il est indispensable à sa construction. 

Cyrielle 

C’est la rentrée !

Nos enfants évoluent et nous le constatons à leur première rentrée scolaire ou à leur entrée au collège, une année avec un examen à la clé ... ! Tout au long de la vie de l'enfant, septembre joue un rôle essentiel pour l'ensemble de la famille. En tant que parents, il faut  jongler entre la liste des fournitures scolaires à acheter qui parfois est longues ou exigeantes (crayon papier HB/2B), l'organisation du quotidien en fonction du nouvel emploi du temps de chacun, l'inscription aux activités extra-scolaires et le déplacement à Décathlon pour l'achat de vêtements et d'équipements de sport . La liste est non exhaustive ! 

Certains enfants ressentent une sensibilité particulière à cette période : le manque de motivation à reprendre un rythme plus soutenu, la peur d'aller à l'école, l'enthousiasme de retrouver les amis, de découvrir son nouvel emploi du temps ... Votre façon d'appréhender la rentrée sera déterminante pour votre enfant. Ne l'oublions pas, à 2 mois comme à 16 ans, nos chérubins restent des éponges à émotions. 

Peut-on aborder cette période de manière tranquille? Bien sûr, mais pas sans effort! Il serait nécessaire de pouvoir consacrer du temps à cette réadaptation. C'est un investissement indispensable pour retrouver un équilibre.

Du temps ? C'est pratiquement devenu un gros mot que l'on peut s'interdire parfois de s'accorder en tant que parent. On pense toujours qu'on en manque ! En période de rush, l’entêtement à cocher toutes les missions avant de s’octroyer un instant à soi nous conduit parfois à garder la tête dans le guidon et donc à tirer sur la corde. On s’épuise jusqu’à ne plus en pouvoir. C’est le meilleur moyen pour tomber malade à la Toussaint ! Le temps est notre allié si on le considère comme tel. Prendre le temps de savourer les victoires, de remarquer les évolutions, de voir nos enfants grandir, de créer de nouveaux moments (liste non exhaustive). Cela nous permet de mieux appréhender les changements auxquels nos enfants nous confrontent régulièrement de par leur développement constant ! 

Alors oui, la rentrée est un mois crucial pour la suite de l’année scolaire. Osez l'aborder avec sérénité, avec recul et sans vous mettre de pression (la société s’en charge déjà assez comme ça) ! 

QUELQUES CONSEILS 

Pour retrouver votre équilibre face au bouleversement que peut-être la rentrée des classes, vous pouvez :

COMMUNIQUER: proposer des temps informels, légers avec vos enfants (même 10 minutes) où vous pouvez les questionner sur leur ressenti (le nouveau maître, les copains, l'activité sportive ou autre). Il est important d'inciter votre enfant à communiquer ses ressentis, à décrire sa journée… Vous pouvez l'y aider en jouant le jeu et parlez vous-même de votre reprise au travail ! 

PLANIFIER : proposer un système de planification familiale sur le planning de chacun afin que chacun puisse y accéder et le modifier ! Cela ne vous empêche pas de laisser place à la spontanéité ! Cette forme de communication est idéale pour diffuser les informations importantes du quotidien, favorise la gestion du quotidien et permet de responsabiliser les enfants (adapter selon l'âge). BONUS : vous pourrez plus facilement vous accorder du temps ! 

SE CONSACRER DU TEMPS : même un court instant ! Rechargez-vos batteries, ressourcez-vous afin d'être en capacité de donner l'énergie que vous souhaitez mettre dans votre quotidien. 

LÂCHER PRISE : oui, je sais, c'est plus facile à dire qu'à faire ! Vous ne pourrez pas tout maîtriser, alors tentez d'aborder les événements avec recul et prise de hauteur.

PARTAGE: les moments de partage autour d'un jeu de société, d'une histoire, de la préparation du repas sont importants à vivre pour vos enfants, comme pour vous ! Des moments à rire, à s'échapper des obligations du quotidien, des interactions autres qu'à table ou « va faire tes devoirs ». Ils permettent de réunir la famille pour aucune autre raison que pour le plaisir ! Même si certaines problématiques ne sont pas réglées, marquez un temps de pause ! (cf conseil lâcher prise).

 Vous faites de votre mieux ? Alors déculpabilisez en cas d'échec. Nous apprenons de nos erreurs et grandissons avec nos enfants. 

Bonne rentrée à tous ! 

Cyrielle 

 

 

 

 

 

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